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    Cлово "BOURGEOIS"


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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., конец 1794 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 17 февраля 1792 г.
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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., конец 1794 г.
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    Часть текста: mais modéré. Quand il n'est qu'à 20 degrés, nous le supportons assez bien, mais en augmentant il devient désagréable. La mort des deux négociants russes, que Votre Excellence avait bien voulu m'annoncer dans votre dernière lettre, est vraiment une perte. Osérow était, je crois, le seul ou presque le seul parmi les négociants russes, qui faisait le commerce étranger en grand et qui avait une maison en Suède. Ses héritiers ne le continueront certainement pas. Si son fils avait vécu, cela serait différent. La chasse de l'écureuil a été très peu abondante cet automne; cela l'a fait hausser de prix. Ilimsk, qui autrefois en livrait près de 30 000, n'en a pas livré cette fois pas même 5000. On le vend ici 110 roubles le mille, et le prix est de 106 à Irkoutsk. Ce sont des spéculateurs qui l'achètent ici si cher; les plus modérés le payent 100 roubles le mille. Quand je suis arrivé ici, on le vendait à 75 et 80 r. le mille; mais les chasses de l'année 1791 avaient été abondantes. Je me confirme de plus en plus dans l'idée que le commerce de Kiachta ne fait hausser le prix de...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 17 февраля 1792 г.
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    Часть текста: sensibilité peut émouvoir mes organes, non seulement je dois (et je le suis en effet) être satisfait, content au delà de toute expression, mais quand je fais l’énumération de tout ce que Votre Excellence faites pour moi, je ne trouve point d'expression équivalente à vos bontés, si elle le peut être à mon sentiment. Il y a quinze jours que j'ai reçu une bonne pacotille de livres, une caisse remplie de tout ce qui me peut être nécessaire, pour me vêtir de la tête aux pieds, et à présent encore de l'argent! Mais pensez donc que j'ai touché mille roubles à mon arrivée à Irkoutsk. Si j'ajoute à cela que vous avez bien voulu satisfaire à mes impudentes demandes de livres, croyez-vous donc qu'il soit tout à fait impossible de me faire rougir? Je vous assure (faut-il vous le jurer?) que je ne manque de rien; et le commerce de Kiachta une fois en train, nous serons encore bien plus à l'aise. Depuis que j'ai quitté ma maison, j'ai souvent versé des larmes de dépit, de douleur, de rage; ah, combien de motifs et de causes! Celles qui coulent de mes yeux au moment que je vous écris vous en dirai-je le principe? Non, toutes pleines du sentiment qui les fait couler, qu'elles se versent sur ...