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    Cлово "CAPITAL"


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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 3 июня 1795 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1798 г.
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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 3 июня 1795 г.
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    Часть текста: des sentiments dont il se remplit à cette idée! Le paquet de Votre Excellence nous est bien venu à temps pour verser du beaume dans des cœurs excédés d'un des tristes spectacles que nous présente souvent la faible humanité. La cabale, l'envie, la perfidie, la trahison, toute renégation de moralité ne sont que des traits de tableau, qui est journellement sous nos yeux. Et s'il est vrai qu'on puisse parvenir à un souverain mépris pour la race adamique (sentiment qu'on met à charge au feu roi de Prusse), jamais contrée n'a été plus propre pour le faire naître que celle, où nous vivons. N'allez pourtant pas me taxer de misanthropie: vous vous tromperiez. Plus j'avance en âge, plus je sens que l'homme est un être social et fait pour vivre en la société de son semblable. Mon père m'a envoyé le détail du partage de son bien. J'y ai aussi ma part, ou plutôt mes enfants. Une campagne est destinée à être vendue pour payer le restant de mes dettes dont une partie a été payée par le capital de Елисавета Васильевна; ainsi c'est elle qui est mon créancier. Cette dette n'est pas la plus criante, bien s'en faut, mais la plus sacrée à mes yeux, d'autant plus que c'est tout son bien, et mon père ne...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1798 г.
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    Часть текста: des biens qu’il n’avait pas distribué à ses enfants, et quoique je n’y devais point avoir part, je comptais qu’on me donnerait quelques assurances pour le capital que ma défunte amie avait déposé entre les mains de mon père et qui doit me revenir de droit. Je me mords les doigts de ce que je ne suis pas encore en chemin, d’autant plus que je voulais vous faire mes excuses en personne, vous demander pardon; car je sens très bien que la lettre que j’ai écrite au sujet de mon frère a pu indisposer Votre Excellence. Pardonnez-le moi, je vous le demande en grâce; c’est mon amitié pour lui qui en est cause, et je n’ai cédé qu’à des instances, à des instances mille fois répétées. A Dieu ne plaise, que je prie Votre Excellence de se compromettre pour moi, pour un homme entaché, et dont la tache est apparemment bien plus grande que je ne l’aurais imaginé, par-cequ’elle peut rejaillir sur des innocents. Je finis la larme à l’œil, car il n’est pas donné à l’écriture d’être aussi énergique que la parole, qu’un geste, et la parole la mieux cadencée, l’expression la plus forte est encore loin de ce que l’homme sent. Une seule idée embrasse tout l’univers, s’élance au...