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    Cлово "CORRECTION"


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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 30 января 1796 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1791 г.
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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 30 января 1796 г.
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    Часть текста: destinés par vous à notre entretien. Recevez nos actions de grâces. Elles partent des cœurs pénétrés de vos bontés, de votre générosité inaltérable; pénétrès d'autant plus, que le principe de cette action gît uniquement dans vous. Car qu'avons nous fait pour l'avoir mérité? Après avoir été plus de six mois sans recevoir de nouvelles de Votre Excellence, votre lettre, malgré toutes les tristes vérités qu'elle contient, m'a causé un plaisir infini. Elle m'est un garant sûr que vous me donnez encore une place dans votre souvenir et, la recevant comme une exhortation, une correction paternelle, je dirai seulement: pardonnez à un cœur sensible d'avoir couru après une chimère, pardonnez à un homme, aimant par essence, d'avoir désiré de revoir ses enfants; et si j'ai cru la chose possible, jamais je ne l'aurais voulu, qu'elle s'effectuât à leur détriment. Il a paru qu'on voulait porter atteinte à notre manière de vivre et à notre tranquillité, par des vues d'intérêt, comme 'j'ai eu l'honneur de le marquer dans ma dernière lettre à Votre Excellence; ma sœur...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1791 г.
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    Часть текста: la campagne (celle-ci est assez connue); mais de l'éducation que reçoit la jeunesse de Tobolsk. Les moyens sont assez multipliés et avec quelques corrections que des chefs intelligents auraient pu facilement apporter, ces moyens auraient été plus que suffisants. Il y a ici une école publique, et à mon grand étonnement j'y ai trouvé des maîtres assez bien instruits pour l'endroit; surtout un jeune homme qui aurait pu faire beaucoup de progrès, s'il y avait quelqu'un pour le conduire et s'il avait des moyens pour nourrir son esprit par la lecture. L'un et l'autre ne lui manqueraient pas, mais lui manquent absolument par des circonstances particulières. Il y a ici un séminaire, où l'on enseigne ce que l'on enseigne ordinairement dans ces écoles. Je ne sais si les écoliers entendent le latin, mais je le sais fort bien qu'ils chantent des cantiques latins. Ce sont les sujets dont on fait ici des prêtres et des diacres. Il y a par dessus une école de garnison; on y enseigne comme autre part à lire, à écrire et l'arithmétique. Ces écoliers deviennent soldats et parviennent ordinairement à être anciens sergents de compagnies, service qui demande la science des chiffres et le savoir de lire et écrire. En outre quelques personnes infortunées exercent chez des particuliers le métier de gouverneur d'enfants. Les écoles publiques sont sur le pied général, comme Votre Excellence le sait, et sont gérées suivant les principes communs; ce qui leur manque ici, c'est un bon ordonnateur. Mais il s'en faut de beaucoup, que le marchand d'ici soit persuadé de leur utilité. Il s'en trouve encore bon...