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    Cлово "FAVORABLE"


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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 1 января 1795 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., конец 1794 г.
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    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 13 июля 1793 г.
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    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 23 марта 1798 г.
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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 1 января 1795 г.
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    Часть текста: ses enfants ou plutôt d'un ami à ses amis, qui n'a d'autre prééminence que l'âge et l'expérience, cela ne peut certainement pas tirer à conséquence. Cependant on est ici si pervers, d'ailleurs si brut, qu'une chose très innocente peut-être peinte des couleurs très noires. Attendre un moment favorable, c'est à quoi je suis résigné. Voici une nouvelle année qui commence. O! puissiez-vous la passer heureusement et voir vos désirs accomplis, puissiez-vous en passer plusieurs, puissé-je vous revoir encore! Hé, que ne pouvez-vous voir mon cœur; il dit bien plus que ma bouche ne peut exprimer. Ma sœur, à côté de moi, me charge de vous exprimer ses sentiments. Les larmes s'échappent de ses yeux. Vous, qui saurez en apprécier la valeur, agréez ses félicitations. Avec une lettre du ci-devant gouverneur-général qu'il m'annonce être la dernière, j'ai reçu les 800 roubles que la bonté inaltérable de Votre...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., конец 1794 г.
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    Часть текста: lettre à Votre Excellence, nous avons eu ici de très fortes gelées pendant près de trois semaines. Le mercure était descendu dans le thermomètre au-dessous de 33 degrés, et le froid était d'autant plus sensible qu'il y avait du vent, – ce qui arrive rarement avec les fortes gelées. Hier le thermomètre était à 0, et cette variation est plus pénible à supporter qu'un froid continu, mais modéré. Quand il n'est qu'à 20 degrés, nous le supportons assez bien, mais en augmentant il devient désagréable. La mort des deux négociants russes, que Votre Excellence avait bien voulu m'annoncer dans votre dernière lettre, est vraiment une perte. Osérow était, je crois, le seul ou presque le seul parmi les négociants russes, qui faisait le commerce étranger en grand et qui avait une maison en Suède. Ses héritiers ne le continueront certainement pas. Si son fils avait vécu, cela serait différent. La chasse de l'écureuil a été...
    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 13 июля 1793 г.
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    Часть текста: 1793 г. А. Р. Воронцову Monsieur. Aussi favorable que nous a été le commencement de cette année, aussi peu l'est-elle à présent, et l'occasion d'écrire à Votre Excellence, quoique vivement désirée, ne se présente qu'aujourd'hui. Ainsi depuis le 9 Avril, jour du départ de ma dernière lettre, ce n'est qu'aujourd'hui, que je puis satisfaire mon cœur et payer à la reconnaissance le tribut accoutumé. Quoique mon début sentira la rouille, je dirai pourtant suivant l'antique formule de nos ayeux: je vis, Dieu en soit loué. Mais ce qui est bien plus important, je me porte assez bien. Je désire que Votre Excellence puissiez dire mieux qu'assez bien, dire: je me porte parfaitement bien. Notre temps se passe entre les occupations accoutumées et les distractions de la belle saison (sauf les moustiques) parmi lesquelles se mêle de temps en temps une certaine crainte, inséparable d'une situation précaire, qui, pour me servir de l'expression d'un poète latin, nous suit en croupe. Nous avons eu un Mai tout à fait beau, quant à la promenade, mais désespérant pour des...
    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 23 марта 1798 г.
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    Часть текста: avez-vous? Si la simple reconnaissance d’un cœur profondément ému peut vous suffir, oui, mon âme est pleine de sentiment de vos bontés. Le séjour d’ici ne m’est pas trop favorable, et Votre Excellence me pardonnerez, si je n’ai d’abord répondu à vos lettres: le temps s’est fait mauvais, et le printemps trop hâtif produit un très mauvais effet sur moi; ma santé en souffre considérablement. A la première lettre de Votre Excellence j’avais hésité de répondre; je n’ai pas pu tenir à la seconde; dites, si je fais bien ou mal. J’ai trouvé mon père dans un état digne de pitié, et ma mère bien plus à plaindre encore. – Quelle terrible et triste vérité que le célèbre tragique français a énoncé: «Ah, que nos jours derniers sont rarement sereins». – Autant que j’ai eu de satisfaction à les revoir, autant j’ai senti de douleur en voyant leur état déplorable. Votre Excellence me faites des reproches, que je n’ai point répondu à l’article de votre lettre, où...