• Приглашаем посетить наш сайт
    Бунин (bunin-lit.ru)
  • Поиск по творчеству и критике
    Cлово "ASSURANCE"


    А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Э Ю Я
    0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
    Поиск  
    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 14 сентября 1792 г.
    Входимость: 1. Размер: 12кб.
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1798 г.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.

    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 14 сентября 1792 г.
    Входимость: 1. Размер: 12кб.
    Часть текста: avait fini à la mi-Août. Aujourd'hui il a neigé. Le climat est assez ingrat. On fait ici rarement, peut-être tous les 4 ou 5 ans, des récoltes des semences des légumes, excepté choux et navets. Les semences que Votre Excellence m'a envoyé ont toutes réussies. Mais peu d'entre elles pourront se renouveller. Les haricots sont péris de la moitié pendant la fleuraison. Pas un pois de mûr. Du reste nous avons eu ici autant de légumes pour l'usage que l'on peut le désirer. La pratique est la meilleure leçon; nous vivrons dans l'espérance de réussir mieux. Un de ces derniers jours, nous avons eu ici une représentation, tout à fait en miniature, de la bourse ou plutôt du quai de débarquement de la douane de Pétersbourg. C'était la caravane de Jakoutsk, qui passait par ici pour se rendre à Jénisseisk. Elle ne séjourne ici que deux ou trois jours au plus,...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1798 г.
    Входимость: 1. Размер: 6кб.
    Часть текста: Преображенского) Monsieur. Ayant reçu la dernière lettre de Votre Excellence, je comptais qu’au lieu de réponse écrite, je me présenterais en personne, et que satisfaisant au premier de mes souhaits encore une fois dans ma vie, je vous verrais, je verrais encore mon bienfaiteur, j’aurais la douceur de l’embrasser, de lui rendre grâce pour ses bontés non interrompues, de lui porter encore le tribut d’un cœur sensible, une larme. Mais le sort en avait ordonné autrement. Sans entrer dans aucun détail fastidieux des causes qui ont empêché mon départ d’ici jusqu’à présent, l’une d’elles était que mon père a pris subitement la résolution de faire un partage légal des biens qu’il n’avait pas distribué à ses enfants, et quoique je n’y devais point avoir part, je comptais qu’on me donnerait quelques assurances pour le capital que ma défunte amie avait déposé entre les mains de mon père et qui doit me revenir de droit. Je me mords les doigts de ce que je ne suis pas encore en chemin, d’autant plus que je voulais vous faire mes excuses en personne, vous demander pardon; car je sens très bien que la lettre que j’ai écrite au sujet de mon frère a pu indisposer Votre Excellence. Pardonnez-le moi, je vous le demande en grâce;...