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    Cлово "EMPEREUR"


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    1. Радищев А. Н. - Радищевым В. А. и Н. А., 13 августа 1797 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 21 сентября 1797 г.
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    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., январь 1798 г.
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    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., январь 1797 г.
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    1. Радищев А. Н. - Радищевым В. А. и Н. А., 13 августа 1797 г.
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    Часть текста: amis. Si [cela] dépendait de moi j’aurais volé vers vous; je n’ai point non plus vu mon père; j’espère pourtant que L’Empereur ne me refusera pas la grâce d’aller voir mon vieux père et de vous voir aussi. Adieu, le temps presse. Rentré chez moi, je vous écrirai plus en détail. Adieu encore, chers enfantsr adieu. Nous voici à Moscou, chers et tendres amis de mon âme et bientôt nous serons chez nous. Comme il me pèse d’être éloigné de vous lors même que nous n’en sommes plus si loin qu’avant et qu’il y aurait la possibilité de vous voir. Oh, mes amis, quand pourrons nous jouir de ce bonheur si longtemps désiré qui s’éloigne de nous sans cesse. Hélas, il ne sera plus si parfait que nous l’aurions pu espérer. Vous savez la perte irréparable que nous avons faite. Oui, mes tendres amis, nous avons-perdu cette mère chérie, qui a pris...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 21 сентября 1797 г.
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    Часть текста: et syllogismes dans toutes les formes; j’en épargne le contenu à Votre Excellence, et après avoir bravement bataillé pour dissiper les nuages qui obscurcissaient mon esprit et mon âme, me voilà à présent, comme jadis Phœbus sortant tout rayonnant du sein d’Amphitrite, moi tout joyeux, sortant tout au plus du bain, la tête encore mouillée, je prends la plume pour remercier Votre Excellence de votre lettre du 2 Septembre que je viens de recevoir ce 20 du même mois. Convenez que l’homme est un être bien comique, bien ridicule, bien drôle; pleurant le matin, riant le soir, sans changer de situation, quelquefois sans changer de place, enfoncé dans un fauteuil en bonnet et en pantouffles. Oui, je me suis trouvé tel que je me dépeins-là, ayant pleuré le matin et ri le soir comme un fou, et je n’ai pourtant plus ri, c’est à dire de gaîté de cœur, depuis Tobolsk, depuis ma séparation d’avec ma bonne amie, quoique j’aie toutes les raisons du monde d’être plus gai par la bonté de notre gracieux Empereur. Votre Excellence veut savoir ce que je fais, et si j’ai des voisins. Des voisins les poches pleines; mais je n’ai vu personne. Mr....
    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., январь 1798 г.
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    Часть текста: А. Н. - Воронцову А. Р., январь 1798 г. А. Р. Воронцову Monsieur. La réponse à la lettre que j’ai adressée à l’Empereur n’a pas tardé, et j’ai reçu la permission d’aller chez mon père une seule fois. Par la copie de la lettre du procureur-général écrite à ce sujet, que je joins ici, Votre Excellence verra, que mon itinéraire n’est pas déterminé, comme l’était celui que j’ai fait en revenant d’Irkoutsk, et je crois, que je ne ferai point une faute, si je passe par Moscou, qui est notre route ordinaire. S’il y a un autre chemin pour aller d’ici à Saratoff, il n’est certainement pas le plus court. Je pourrais donc avoir la satisfaction si douce pour mon âme de voir celui qui m’a procuré des jours heureux au sein de l’infortune. C’est pour accélérer mon départ que j’ai envoyé mon fils à Moscou, le rendant porteur de ma lettre à Votre Excellence. En allant chez mon père par le traînage, je compte y passer l’été et...
    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., январь 1797 г.
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    Часть текста: 1797 г. А. Р. Воронцову (Январь 1797 г. Из Илимска) Monsieur. La nouvelle année a commencé... Ah! puisse-t-elle, puisse-t-elle couler et finir au gré de vos désirs! L’année à peine commencée, et vos bienfaits se sont renouvelles déjà. J’ai reçu, il y a quelques jours, 500 roubles du gouverneur qu’il me marque avoir été envoyés pour moi de la part de Votre Excellence. Recevez-en le tribut ordinaire, la reconnaissance d’un cœur sensible. Mais je vous avoue que la douleur s’est emparée de mon âme. Pas une ligne de votre part. Auriez-vous changé à mon égard? Non, mon cœur repousse cette idée. Elle est trop déchirante. Les nouvelles de Pétersbourg commencent à parvenir jusqu’à nous. L’Empereur commence son règne par des bienfaits. Veuille le Ciel lui être propice dans toutes ses entreprises. On bénit déjà son règne. Les recrues sont retournés dans leurs foyers. Tel qui gémissait d’avoir été arraché des bras de ses parents, s’enivre de joie, et d’une joie d’autant plus grande qu’elle était inespérée. Ah! qu’il est doux de revoir les lieux qui nous ont vu naître... Ah! qu’il est cruel d’espérer souvent en vain. Je finis. Pardonnez-le moi. Mon esprit agité d’idées qui se...