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    Cлово "KAZAN"


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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 мая 1797 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., октябрь 1798 г.
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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 мая 1797 г.
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    Часть текста: conspire à éloigner ce moment. Le Ciel me serait-il tout à fait défavorable. Je finis, car la poste part. Le 26 Mai 1797. Лаишев le 1 Juin 1797. Ma lettre est venu trop tard, et sans avoir rien fait de bon à Kazan, je suis revenu, sur ma barque. Demain probablement nous nous mettrons en route. Si notre navigation ne sera point retardée par le gros temps et les tempêtes, pour la St. Pierre nous serons à Нижней. Je doute que cela soit avant. Veuille le Ciel que je puisse finir mon voyage. Il commence à m’ennuyer extraordinairement. Ce qui me peine ce que je n’ai vu personne des miens à Kazan, et que je n’ose me détourner de la route pour aller voir mon père et ma mère. Je ne verrai pas non plus mes enfants qui sont, à ce que j’apprends, à Kiev ou plus loin. Il y était donc dit que si l’année passée finirait pour moi par un commencement de bonheur, l’année précédente serait une des plus fatales de ma vie. La seule consolation qui me reste encore, c’est que je vous verrai peut-être bientôt. Eh! pourquoi le sort cruel n’a pas voulu que celle qui m’aida à supporter mon malheur ne partage point avec moi la douce satisfaction que j’aurai de vous voir. Elle le désirait autant que moi. Перевод Милостивый государь. Я в Казани на самое короткое время, не встретил здесь никого из знакомых, и это вынуждает меня следовать дальше по реке; тут был слуга моего отца, прождавший меня очень долго. Итак, я не получу...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., октябрь 1798 г.
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    Часть текста: d’ailleurs vos ordres à ce sujet sont précis. Que prétend-on après tout en ouvrant mes lettres? Jamais elles n’ont contenu la moindre des choses qui pût choquer; elles n’en contiendront jamais. Je passe ici assez mal mon temps quant à ma santé. Depuis que je suis ici, j’ai ressenti des attaques de maladies qui m’étaient inconnues jusqu’à présent. Je sens que j’ai bien vieilli depuis mon retour. Cependant j’engraisse, et ma veste m’en avertit chaque jour. Du reste je suis ici à rien faire, si ce n’est à lire quelques songes creux des travaux de la Société Economique de St. -Pétersbourg. Ma plus importante lecture a été le Messie de Klopstock, et l’Enéide en latin, et celle-ci m’a réellement donné de la satisfaction, puisque depuis l’école je n’y avais pas mis le nez. J’ai reçu il y a quelques jours une lettre de m-r Nagel datée du 28 Avril (non en réponse de la lettre que je lui ai écrite d’ici, mais en réponse d’une lettre écrite vers la fin de l’année passée), par laquelle il m’annonce qu’il partira d’Irkoutsk vers la fin du mois de Mai et qu’il a laissé mes livres à Irkoutsk chez le délégué du commissariat; il me dit de lui écrire à son passage à Kazan, ce que j’ai fait. Je ne compte partir d’ici qu’au commencement de l’hiver prochain à moins que quelque chose ne m’y oblige, et alors ayant dit adieu à mes vieux parents, probablement pour la dernière fois, j’aurais...