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    1. Радищев А. Н. - Радищевым В. А. и Н. А., 13 августа 1797 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 17 февраля 1792 г.
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    1. Радищев А. Н. - Радищевым В. А. и Н. А., 13 августа 1797 г.
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    Часть текста: ne me refusera pas la grâce d’aller voir mon vieux père et de vous voir aussi. Adieu, le temps presse. Rentré chez moi, je vous écrirai plus en détail. Adieu encore, chers enfantsr adieu. Nous voici à Moscou, chers et tendres amis de mon âme et bientôt nous serons chez nous. Comme il me pèse d’être éloigné de vous lors même que nous n’en sommes plus si loin qu’avant et qu’il y aurait la possibilité de vous voir. Oh, mes amis, quand pourrons nous jouir de ce bonheur si longtemps désiré qui s’éloigne de nous sans cesse. Hélas, il ne sera plus si parfait que nous l’aurions pu espérer. Vous savez la perte irréparable que nous avons faite. Oui, mes tendres amis, nous avons-perdu cette mère chérie, qui a pris soin de notre enfance, nous n’avons pas pu vivre heureux avec elle dans notre patrie. Adieu chers amis de mon cœur. Je vous embrasse un million de fois et je vous presse contre mon cœur. Перевод Ваше письмо, отправленное из Киева, было доставлено мне в Москве, где я был только проездом. Дорогие и милые дети, вот я наконец и в Немцове. Бог-покровитель вызволил меня из изгнания, но, тем не менее, я обязан подчиниться суровому закону – не видеть вас по моем возвращении и не иметь возможности прижать вас к моему сердцу. Ах, друзья мои, если бы это от меня зависело, то я полетел бы к вам. Не видал я...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 17 февраля 1792 г.
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    Часть текста: Воронцову Monsieur. Dans une lettre que je viens le recevoir de Votre Excellence, en réponse d'une des miennes écrites dès mon arrivée à Irkoutsk, vous me dites que vous avez du plaisir à me voir content des livres que vous avez bien voulu m'envoyer; eh comment ne le serai-je pas? Si je ne suis point une borne, une masse informe, une bûche de bois: si la plus faible étincelle de sensibilité peut émouvoir mes organes, non seulement je dois (et je le suis en effet) être satisfait, content au delà de toute expression, mais quand je fais l’énumération de tout ce que Votre Excellence faites pour moi, je ne trouve point d'expression équivalente à vos bontés, si elle le peut être à mon sentiment. Il y a quinze jours que j'ai reçu une bonne pacotille de livres, une caisse remplie de tout ce qui me peut être nécessaire, pour me vêtir de la tête aux pieds, et à présent encore de l'argent! Mais pensez donc que j'ai touché mille roubles à mon arrivée à Irkoutsk. Si j'ajoute à cela que vous avez bien voulu satisfaire à mes impudentes demandes de livres, croyez-vous donc qu'il soit tout à fait impossible de me faire rougir? Je vous assure (faut-il vous le jurer?) que je ne manque de rien; et le commerce de Kiachta une fois en train, nous serons encore bien plus à l'aise. Depuis que j'ai...