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    1. Радищев А. Н. - Книгопродавцу Рису, 18 августа 1797 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 14 ноября 1791 г.
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    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1791 г.
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    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., октябрь 1798 г.
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    5. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 4 апреля 1792 г.
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    6. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 мая 1797 г.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Радищев А. Н. - Книгопродавцу Рису, 18 августа 1797 г.
    Входимость: 3. Размер: 6кб.
    Часть текста: en russe Александру Николаевичу Радищеву в Малом Ярославце Калужской губернии. Pour les envois que vous voudrez bien me faire, notre accord sera, si vous l’agréez: je paye les frais de la poste et de l’envoi 4 semaines après le reçu de votre lettre, je vous envoyé ou l’argent par poste ou ordre de vous payer à Moscou à notre homme d’affaires. Si vous voulez vous charger de la commission suivante, vous me ferez grand plaisir. Il se peut que vous ou vos collègues recevez la gazette de Hambourg. Si après l’avoir lue quelqu’un voulût bien me la céder, soit tout à fait soit avec la condition de la renvoyer à Moscou, je l’exécuterais religieusement. Je m’oblige à payer la gazette et la poste. Voudriez-vous bien me donner réponse, vous obligerez par là infiniment celui, qui est toujours avec l’estime la plus distinguée... ...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 14 ноября 1791 г.
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    Часть текста: faut trois mois pour avoir une réponse; quand je mets encore en ligne de compte la distance d'Irkoutsk jusqu'à Ilimsk, et qu'il n'y a pas de poste réglée entre ces deux endroits: je vous avoue que l'idée est effrayante. Dans quelles situations l'homme ne peut-il pas se trouver! Et si le malheur lui en veut... Succombant, anéanti sous le poid qui l'accable, le malheureux étendra vainement ses mains vers l'homme qui pourrait venir à son secours. La dépouille deviendra plutôt la proie des vers avant que sa voix puisse se faire entendre. Pardonnez à ma jérémiade: c'est que je suis à 6000 verstes de vous. Le traînage est déjà établi, et nous partirons dans la quinzaine sans faute. Comme la Angara ne se couvre de glace qu'au commencement de Janvier, et comme le chemin ne devient praticable que vers la fin du même mois, nous serons obligés de suivre, pour nous rendre à Ilimsk à présent, le grand chemin de Jakoutsk, en voyageant plus de 500 verstes le long de la Lena. C'est un grand détour, mais on ne peut pas faire autrement. En suivant cette route, nous aurons à faire environ 900 verstes jusqu'à Ilimsk, tandis qu'il n'y a que 560 en suivant l'Angara. J'ai fait ici connaissance avec le sieur Chélekhoff, qui ne fait que de revenir d'Okhotsk, où il va chaque printemps pour recevoir ses navires revenant de l'Amérique. Votre Excellence le...
    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 ноября 1791 г.
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    Часть текста: Votre Excellence, pourvu toutefois que cela ne vous donne point de l'ennui. Un des points importants dans la constitution d'un pays est (je n'ai pas besoin d'en donner des preuves, Votre Excellence le sait mieux que moi) l'éducation, soit publique, soit privée. Je ne parlerai pas de l'éducation de tout le gouvernement, je n'en suis pas assez au fait, ni de l'éducation de l'homme de la campagne (celle-ci est assez connue); mais de l'éducation que reçoit la jeunesse de Tobolsk. Les moyens sont assez multipliés et avec quelques corrections que des chefs intelligents auraient pu facilement apporter, ces moyens auraient été plus que suffisants. Il y a ici une école publique, et à mon grand étonnement j'y ai trouvé des maîtres assez bien instruits pour l'endroit; surtout un jeune homme qui aurait pu faire beaucoup de progrès, s'il y avait quelqu'un pour le conduire et s'il avait des moyens pour nourrir son esprit par la lecture. L'un et l'autre ne lui manqueraient pas, mais lui manquent absolument par des circonstances particulières. Il y a ici un séminaire, où l'on enseigne ce que l'on enseigne ordinairement dans ces écoles. Je ne sais si les écoliers entendent le latin, mais je le sais fort bien qu'ils chantent des cantiques latins. Ce sont les sujets dont on fait ici des prêtres et des diacres. Il y a par dessus une école de garnison; on y enseigne comme autre part à lire, à écrire et l'arithmétique. Ces écoliers deviennent soldats et parviennent ordinairement à être anciens sergents de compagnies, service qui demande la science des...
    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., октябрь 1798 г.
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    Часть текста: depuis mon retour. Cependant j’engraisse, et ma veste m’en avertit chaque jour. Du reste je suis ici à rien faire, si ce n’est à lire quelques songes creux des travaux de la Société Economique de St. -Pétersbourg. Ma plus importante lecture a été le Messie de Klopstock, et l’Enéide en latin, et celle-ci m’a réellement donné de la satisfaction, puisque depuis l’école je n’y avais pas mis le nez. J’ai reçu il y a quelques jours une lettre de m-r Nagel datée du 28 Avril (non en réponse de la lettre que je lui ai écrite d’ici, mais en réponse d’une lettre écrite vers la fin de l’année passée), par laquelle il m’annonce qu’il partira d’Irkoutsk vers la fin du mois de Mai et qu’il a laissé mes livres à Irkoutsk chez le délégué du commissariat; il me dit de lui écrire à son passage à Kazan, ce que j’ai fait. Je ne compte partir d’ici qu’au commencement de l’hiver prochain à moins que quelque chose ne m’y oblige, et alors ayant dit adieu à mes vieux parents, probablement pour la dernière fois, j’aurais avant d’arriver chez moi (si vous le permettez) le plaisir et la satisfaction de vous ...
    5. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 4 апреля 1792 г.
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    Часть текста: altérée par la mort de votre sœur, surtout par la douleur de l'avoir vu mourir. Je connais votre cœur sensible, et ce qu'il vous en aura coûté. Vous raisonnez fort bien, quand vous dites qu'il faut se faire une raison sur ces choses-là; mais quand celui qui nous quitte, et pour toujours, nous tenait de bien près, vous l'avez senti, malgré tous les efforts que l'on fait pour se posséder, malgré l'empire que la raison veut exercer sur nos affections, nous sentons, malgré le pouvoir qu'elle voudrait s'arroger en s'affublant de tous les motifs possibles, nous sentons, hélas, que nous sommes des hommes. Et pourquoi ne pas rendre un tribut légitime de larmes quand nous sentons que notre cœur est oppressé; pourquoi vouloir devenir insensible? Loin de moi cette fermeté de roche, cette stupeur de l'âme, pour ainsi dire, qui en dénaturant la faculté de cœur la plus admirable, si elle n'est pas la plus admirée, veut y enraciner l'impassibilité. Celui ...
    6. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 мая 1797 г.
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    Часть текста: est venu trop tard, et sans avoir rien fait de bon à Kazan, je suis revenu, sur ma barque. Demain probablement nous nous mettrons en route. Si notre navigation ne sera point retardée par le gros temps et les tempêtes, pour la St. Pierre nous serons à Нижней. Je doute que cela soit avant. Veuille le Ciel que je puisse finir mon voyage. Il commence à m’ennuyer extraordinairement. Ce qui me peine ce que je n’ai vu personne des miens à Kazan, et que je n’ose me détourner de la route pour aller voir mon père et ma mère. Je ne verrai pas non plus mes enfants qui sont, à ce que j’apprends, à Kiev ou plus loin. Il y était donc dit que si l’année passée finirait pour moi par un commencement de bonheur, l’année précédente serait une des plus fatales de ma vie. La seule consolation qui me reste encore, c’est que je vous verrai peut-être bientôt. Eh! pourquoi le sort cruel n’a pas voulu que celle qui m’aida à supporter mon malheur ne partage point avec moi la douce satisfaction que j’aurai de vous voir. Elle le désirait autant que moi. Перевод Милостивый государь. Я в Казани на самое короткое время, не встретил здесь никого из знакомых, и это вынуждает меня следовать дальше по реке; тут был слуга моего отца, прождавший меня очень долго. Итак, я не получу удовольствия или, вернее, счастья увидеть вас ранее июля, так как мне говорят, что до Петрова дня я не...