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    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 4 апреля 1792 г.
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    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 9 июня 1796 г.
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    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 7 декабря 1793 г.
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    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 17 февраля 1792 г.
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    5. Радищев А. Н. - Книгопродавцу Рису, 18 августа 1797 г.
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    6. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 2 мая 1791 г.
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    7. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 22 ноября 1794 г.
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    8. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 24 мая 1792 г.
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    9. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., октябрь 1798 г.
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    10. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 30 января 1796 г.
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    11. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 21 июля 1798 г.
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    12. Радищев П. А.: Биография А. Н. Радищева
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    13. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 14 ноября 1791 г.
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    14. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 26 мая 1797 г.
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    Примерный текст на первых найденных страницах

    1. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 4 апреля 1792 г.
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    Часть текста: par la mort de votre sœur, surtout par la douleur de l'avoir vu mourir. Je connais votre cœur sensible, et ce qu'il vous en aura coûté. Vous raisonnez fort bien, quand vous dites qu'il faut se faire une raison sur ces choses-là; mais quand celui qui nous quitte, et pour toujours, nous tenait de bien près, vous l'avez senti, malgré tous les efforts que l'on fait pour se posséder, malgré l'empire que la raison veut exercer sur nos affections, nous sentons, malgré le pouvoir qu'elle voudrait s'arroger en s'affublant de tous les motifs possibles, nous sentons, hélas, que nous sommes des hommes. Et pourquoi ne pas rendre un tribut légitime de larmes quand nous sentons que notre cœur est oppressé; pourquoi vouloir devenir insensible? Loin de moi cette fermeté de roche, cette stupeur de l'âme, pour ainsi dire, qui en dénaturant la faculté de cœur la plus admirable, si elle n'est pas la plus admirée, veut y enraciner l'impassibilité. Celui qui n'a jamais senti une larme humecter le bord de sa paupière, est près d'être atroce, il est dur. (Voilà par parenthèse, ce que l'on peut dire des personnes qui n'aiment pas les tragédies). Je me représente...
    2. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 9 июня 1796 г.
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    Часть текста: et me berce encore de ses illusions. Vous direz que je suis fou... Eh, oui. Tel qu'un aliéné, je cours après mon idée favorite, je m'en rassasie, elle m'enivre, et comme les buveurs d’opium je goûte en extase le bonheur enfanté par les fantômes de mon imagination; mais revenu à moi je me sens, à leur instar, fatigué de mon délire, rejeté bien plus bas que d’où je suis parti, sentant plus que jamais le poids du malheur. C’est folie, je l’avoue, mais peut-on m’en vouloir? J’en étais là avec ma lettre que je voulais envoyer par mon domestique jusqu’à Irkoutsk, quand je reçus de la part de mr. le gouverneur deux de Votre Excellence, écrites de Moscou. Ah, quel plaisir, quel plaisir n’ai-je pas senti en les lisant! Croyez ou ne le croyez pas, mes larmes coulent encore, en vous traçant la réponse. Au sujet des juges de notre district, je me réserve d’en parler une autre fois à Votre Excellence, ce que je, puis dire pour le moment d’à présent, c’est qu’il n’y a point de milieu quand on a affaire ...
    3. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 7 декабря 1793 г.
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    Часть текста: heureux, car depuis trois semaines c'est pour la troisième fois, que je puis écrire à Votre Excellence. L'avancement de mon frère, que vous avez la bonté de m'an-noncer, et auquel vous aurez certainement contribué, me fait d'autant plus de plaisir, que je vois par ses lettres, qu'il est décidé à quitter sa place, vu que le vice-gouverner lui en veut. Hé! Quelle cause, les faveurs d'une femme gagnées ou perdues, je ne le sais pas trop bien. Il est bien de l'homme de se haïr cordialement pour une femme (les animaux ne s'entre-déchirent-ils pas pour une femelle?); mais mêler les affaires du gouvernement dans une intrique, c'est ce qui ne devrait pas être. Il est vrai qu'il n'appartient pas à chacun de s'isoler, pour ainsi dire, de soi-même, toutes les fois qu'il s'agit d'affaires. Quant à mon frère, je réitérerai à Votre Excellence ma prière de l'année passée de lui procurer quelque place à Pétersbourg, si mes enfants doivent y aller. Toutefois dans tout ceci je m'en rapporte à vos bontés. Elles ont été inaltérables à mon égard; je n'ai jamais eu besoin de les provoquer par mes prières. Du reste, mes prières ne s'étendent qu'au possible. Votre Excellence a raison de dire que...
    4. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 17 февраля 1792 г.
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    Часть текста: une bonne pacotille de livres, une caisse remplie de tout ce qui me peut être nécessaire, pour me vêtir de la tête aux pieds, et à présent encore de l'argent! Mais pensez donc que j'ai touché mille roubles à mon arrivée à Irkoutsk. Si j'ajoute à cela que vous avez bien voulu satisfaire à mes impudentes demandes de livres, croyez-vous donc qu'il soit tout à fait impossible de me faire rougir? Je vous assure (faut-il vous le jurer?) que je ne manque de rien; et le commerce de Kiachta une fois en train, nous serons encore bien plus à l'aise. Depuis que j'ai quitté ma maison, j'ai souvent versé des larmes de dépit, de douleur, de rage; ah, combien de motifs et de causes! Celles qui coulent de mes yeux au moment que je vous écris vous en dirai-je le principe? Non, toutes pleines du sentiment qui les fait couler, qu'elles se versent sur votre cœur généreux! Vous le sentirez: elles partent du fond du mien. Mes petits enfants ont été transportés à la vue des petits almanachs que Votre Excellence a daigné leur envoyer. Je ne [les] fais point écrire eux-mêmes leurs remerciments. Si je conduis leur plume, ce sera quelque chose d'apprêté, et l'esprit du maître se verra dans l'écriture de l'enfant; s'ils écrivent tout seuls, leurs expressions ainsi que leurs sensations seront...
    5. Радищев А. Н. - Книгопродавцу Рису, 18 августа 1797 г.
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    Часть текста: en y ajoutant les Eléments de Chimie de Tourcroy; mon adresse est dans la ville de Maloi Jaroslavetz: en russe Александру Николаевичу Радищеву в Малом Ярославце Калужской губернии. Pour les envois que vous voudrez bien me faire, notre accord sera, si vous l’agréez: je paye les frais de la poste et de l’envoi 4 semaines après le reçu de votre lettre, je vous envoyé ou l’argent par poste ou ordre de vous payer à Moscou à notre homme d’affaires. Si vous voulez vous charger de la commission suivante, vous me ferez grand plaisir. Il se peut que vous ou vos collègues recevez la gazette de Hambourg. Si après l’avoir lue quelqu’un voulût bien me la céder, soit tout à fait soit avec la condition de la renvoyer à Moscou, je l’exécuterais religieusement. Je m’oblige à payer la gazette et la poste. Voudriez-vous bien me donner réponse, vous obligerez par là infiniment celui, qui est toujours avec l’estime la plus distinguée... Перевод При отъезде из Москвы различные обстоятельства помешали мне побывать у вас и оставить вам свой адрес. Если вы получили труд Филанджьери 1 в 7 томах, то, пожалуйста, пришлите его мне, присоединив к сему «Элементы химии» Туркруа. Адрес мой: в город Малоярославец: по-русски: Александру Николаевичу Радищеву в Малом Ярославце...
    6. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 2 мая 1791 г.
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    Часть текста: водою, и разлитие их последует в половине сего месяца и продолжится почти до половины июня, чем дороги делаются здесь затруднительны, нередко и опасны. По стечении же вод нигде, сказывают, дороги таковы не бывают, как в Сибири, – ровны, гладки и безопасны. До прошедшаго года неизвестно было, чтобы происшел по дороге разбой. В прошлом году разбита почта с деньгами. Говоря о деньгах, вашему сиятельству угодно было знать, довольно ли в Сибири медных денег. В Казане на пятирублевую ассигнацию трудно сыскать медных денег; напротив того, уже в Перми на сторублевую дают медь охотно. Несомненно, чтобы нашлись предприимчивые люди, которые могли бы из Перми зимою и летом по Каме возить деньги для промену; но строгое смотрение в Казане, дабы не брали ажио, много тому препятствует. Здесь не только нет в медных деньгах недостатка, но на мелкия ассигнации дают промен. Что меня однакоже удивляет, что здесь много обыкновенных медных денег, следственно, и изобилие оных происходит не от того, что здесь особая монета, но от того, что часть денег, в Екатеринбурге вытискаемых, обращается в Сибирь. Но сколько мог приметить, то здесь денег больше стараго тиснения, а в Перми новаго. Хотя я вашему сиятельству и писал, что камней здесь нет, однако видел дикой камень, которой ломают за 15 верст отсюда. Как мне без повреждения здоровья моего опасности туда съездить будет можно, то оную осмотрю. Из полученного мною вашего сиятельства письма из Иркутска я усматриваю, что, не преставая ко мне ваши благодеяния, вы изволили для меня еще переслать 500 рублей. Чем могу я вам за то воздать? Вы мне сохранили остатки томной жизни, и вы еще...
    7. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 22 ноября 1794 г.
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    Часть текста: ne présentait qu'un séjour affreux et une vaste solitude, ou bien me transportant à des temps plus postérieurs, je croyais voir la nature, lente dans sa marche progressive, rassemblant toutes ses forces, secouer de dessus la surface de notre globe une vieillesse apparente, et après avoir ébranlé la terre dans ses plus profonds fondements la faire paraître sous une face tout à fait nouvelle. Quel vaste champ pour des hypothèses! Et il me semble qu'on est encore bien loin d'avoir épuisé toutes les possibilités sur la formation et les révolutions de notre globe. Du reste, quand le sort, en apesantissant sur nous sa main, nous prive de la société des hommes policés, il nous laisse encore la bénigne ressource de pouvoir étudier la nature, d'interroger les êtres non seulement privés de la raison, mais même de la sensibilité et en apparence de la vie, des pierres, des rochers. Elles vous répondent, oui, elles vous répondent et plus sincèrement que ne font souvent les hommes; du moins plus sincèrement que les habitants de ces cantons. Pour le dire en passant, ils se sont bien effrayés de mon voyage, croyant toujours que je cherchai des mines d'argent, ce dont il ne paraît point de trace. De bonne foi avec tout le monde, je n'ai rien pu tirer d'eux; avec plus d'astuce, et cela me répugne, je l'aurais pu savoir. – Je ne suis cependant pas découragé. – Mes enfants m'écrivent qu'ils veulent venir me voir. Je sais que c'est à vous qu'ils demanderont conseil. Puisse-t-il être en ma faveur! Je finis en vous priant d'être...
    8. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 24 мая 1792 г.
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    Часть текста: des montagnes d'une 1/2 verste de hauteur perpendiculaire, que je m'enfonce dans l'épaisseur des bois, et encore ce que j'ai pu voir ne dédommageait point la peine qu'on se donnait. Rien d'approchant de loin ce qu'on écrit des Alpes ou des Pyrénées. Mais j'avouerai que je m'y suis arrêté pendant quelques heures à examiner des plantes. Ce plaisir est pour moi tout à fait nouveau; à peine sais-je encore la manière de classifier, que je me crois presque un Linné, dont, à ma honte, je dois le dire, je ne connais que le nom; autant dirai-je de mes occupations minéralogiques. Ce qu'il y a de sûr, c'est que les rochers calcaires des environs d'Ilimsk recèlent dans leurs crevasses du salpêtre, le plus souvent en poudre, et quelque fois en d'assez jolies aiguilles. J'irai bientôt voir une mine de fer, d'un très pauvre contenu. Mais c'est que je ne puis croire encore, c'est qu'on m'a assuré qu'il y a près d'ici une mine d'argent. Suivant le...
    9. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., октябрь 1798 г.
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    Часть текста: elles n’en contiendront jamais. Je passe ici assez mal mon temps quant à ma santé. Depuis que je suis ici, j’ai ressenti des attaques de maladies qui m’étaient inconnues jusqu’à présent. Je sens que j’ai bien vieilli depuis mon retour. Cependant j’engraisse, et ma veste m’en avertit chaque jour. Du reste je suis ici à rien faire, si ce n’est à lire quelques songes creux des travaux de la Société Economique de St. -Pétersbourg. Ma plus importante lecture a été le Messie de Klopstock, et l’Enéide en latin, et celle-ci m’a réellement donné de la satisfaction, puisque depuis l’école je n’y avais pas mis le nez. J’ai reçu il y a quelques jours une lettre de m-r Nagel datée du 28 Avril (non en réponse de la lettre que je lui ai écrite d’ici, mais en réponse d’une lettre écrite vers la fin de l’année passée), par laquelle il m’annonce qu’il partira d’Irkoutsk vers la fin du mois de Mai et qu’il a laissé mes livres à Irkoutsk chez le délégué du commissariat; il me dit de lui écrire à son passage à Kazan, ce que j’ai fait. Je ne compte partir d’ici qu’au commencement de l’hiver prochain à moins que quelque chose ne m’y oblige, et alors ayant dit adieu à mes vieux parents, probablement pour la dernière fois, j’aurais avant d’arriver chez moi (si vous le permettez) le plaisir et la satisfaction de vous voir – peut-être aussi pour la dernière fois. Je rends infiniment grâce...
    10. Радищев А. Н. - Воронцову А. Р., 30 января 1796 г.
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    Часть текста: je viens de recevoir une lettre de Votre Excellence avec les marques accoutumées de votre bienveillance, et de votre bonté envers moi. Le gouverneur y a joint les 500 roubles destinés par vous à notre entretien. Recevez nos actions de grâces. Elles partent des cœurs pénétrés de vos bontés, de votre générosité inaltérable; pénétrès d'autant plus, que le principe de cette action gît uniquement dans vous. Car qu'avons nous fait pour l'avoir mérité? Après avoir été plus de six mois sans recevoir de nouvelles de Votre Excellence, votre lettre, malgré toutes les tristes vérités qu'elle contient, m'a causé un plaisir infini. Elle m'est un garant sûr que vous me donnez encore une place dans votre souvenir et, la recevant comme une exhortation, une correction paternelle, je dirai seulement: pardonnez à un cœur sensible d'avoir couru après une chimère, pardonnez à un homme, aimant par essence, d'avoir désiré de revoir ses enfants; et si j'ai cru la chose possible, jamais je ne l'aurais voulu, qu'elle s'effectuât à leur détriment. Il a paru qu'on voulait porter atteinte à notre manière de vivre et à notre tranquillité, par des vues d'intérêt, comme 'j'ai eu l'honneur de le ...